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J'AI VU LE PRINTEMPS
Paroles et musique
Bernard Larquier
J’ai vu le printemps maman,
J’ai vu le printemps,
J’ai vu le printemps maman,
J’ai vu le printemps...
J’ai vu passer les hirondelles
C’est elles qui viennent annoncer la nouvelle
J’ai vu les abeilles voltiger
Le printemps à toujours ses messagers
Maman la nature est jolie
Le printemps a tout embelli.
J'ai vu le printemps papa,
J'ai vu le printemps.
J'ai vu le printemps papa,
J'ai vu le printemps...
Le jardinier est un artiste,
Trouvant l'hiver un peu long, un peu triste,
A fait s’épanouir les fleurs,
Et fait jaillir des millions de couleurs.
Papa, le jardin est joli,
Le printemps a tout embelli.
J’ai vu le printemps, maîtresse,
J'ai vu le printemps.
J'ai vu le printemps, maîtresse,
J'ai vu le printemps...
Chanter, danser, belles demoiselles
Tournez, tournez vos jupons de dentelles,
Valsez, virer, beaux cavaliers,
Faîtes claquer vos talons de souliers.
Maîtresse ta chanson est jolie,
Le printemps a tout embelli.
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Poème Bernard Larquier
L’ABEILLE ET LE PAPILLON
Papillon au jardin vole et tourbillonne
Aperçoit une abeille qui s’agite et bourdonne,
- Que fais-tu donc l’abeille à vibrer sur les fleurs?
- Je butine, dis-t-elle, comme toutes mes sœurs!
Le miel et le pollen que toutes nous rapportons,
Nous sers pendant l’hiver surtout de provision.
Je visite les fleurs et je prends leur nectar,
Je garde dans mon jabot, ce breuvage et je pars,
Jusqu’à la ruche je vole, en filant dans le ciel,
Pour dégorger ce suc qui deviendra du miel.
- Non de non! Mais quel boulot! s’exclame papillon,
Tu devrais t’accorder un peu de distraction,
Regarde la nature, profite de la saison,
Dore-toi au soleil, ou cherche un compagnon!
Le papillon s’envole en déployant ses ailes,
L’abeille le contemple, “qu’il est beau se dit-elle!”
Elle laisse sa besogne et reste là, rêveuse,
Elle se sent fatiguée, ou peut-être amoureuse.
Un jour dans ton jardin, va-donc tendre l’oreille,
Écoute le papillon, il cause avec l’abeille.
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Poème Bernard LARQUIER
LE COCHON
C’est le cochon Ignace
Qui se roule dans sa crasse.
Se couche dans la mélasse,
Se vautre dans la bouillasse.
Et quand il se déplace,
Il prend toute la place,
C’est une vraie molasse,
Que l’on suit à la trace…
En plus, il est vorace,
Il mangerait ses godasses,
Et même des paperasses,
Sans la moindre grimace.
Mais ce gros dégueulasse,
Tout couvert de bouillasse,
Je décrasse sa carcasse,
Je chasse sa crasse tenace,
Et alors ! Je l’embrasse.
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Poème de Bernard Larquier
LE RAT
Il était une fois, un rat !
Un rat dans l’embarras
Au fond d’un débarras.
« C’est trop ingrat ! » dit le rat,
« De vivre dans un tel fatras ! »
Il raconta, qu’il en mourra du choléra
Et cetera, et cetera !
Bref ! Le rat râla, puis déclara qu’il s’en ira…
Rallier les petits rats de l’opéra.
Hourra ! dit Barbara « bon débarras ! »
« Bon ! On verra ! » Murmura le rat.
Puis il sourit !
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Poème de Bernard Larquier
LA GRENOUILLE
La pluie qui mouille,
C’est bien pour la grenouille !
Mais ! Qu’est-ce qu’elle farfouille
Dans l’eau qui grouille ?
Fait-elle sa tambouille ?
Es-ce que ça la chatouille ?
Oh ! Là, là mais quelle embrouille,
Pauvre grenouille, a-t’elle la trouille ?
Non ! Non, non ! Elle se débarbouille !
Ah bon!
Oh ! La fripouille !
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